La grande majorité des répondants souhaite que cette loi oblige les employeurs à établir des modalités en lien avec le droit à la déconnexion, celui-ci étant perçu comme un moyen de respecter les temps de repos et de congé et de maintenir une limite entre la vie professionnelle et la vie personnelle/familiale.

La législation devrait inclure des recours et des sanctions envers les employeurs qui ne respectent pas le droit à la déconnexion. C’est lors des fins de semaine, des jours fériés et des vacances (plus de 90%) que les répondants aimeraient le plus bénéficier du droit à la déconnexion contre environ 70% le soir et 50% le matin.

«Depuis la pandémie, il n’y a plus que les courriels à gérer sur notre cellulaire. Il y a en plus les messages textes et le clavardage sur les plateformes collaboratives comme Teams. Avec les notifications qui s’accumulent, il est de plus en plus difficile de décrocher», a ajouté Mme Fauchon.