Depuis plusieurs mois, la Banque du Canada martèle ce message : il faut éviter les hausses salariales trop importantes, de peur qu’elles deviennent le carburant d’une nouvelle poussée de l’inflation. Mais ces craintes ne sont pas fondées, selon une étude dévoilée par l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) publiée aujourd’hui.